Jaquette... of all trades ?

J'ai, depuis une semaine et demie, un nouvel emploi (d'été): femme-à-tout-faire dans un centre de location d'articles de plein air. Entre mes nombreuses tentatives infructueuses de stationnement perpendiculaire avec la remorque et mon étude du poids maximal supporté par chacune des embarcations, j'apprends, entre autres, à faire quelques mises au point mineures sur un vélo.

Dès que j'en ai la chance, je m'éclipse vers l'atelier pour retrouver É., notre technicien, et lui lancer un regard espiègle qu'il comprend sur-le-champ. Sans dire un mot, il se déloge et m'installe. Puis, il m'indique les réparations de la journée à effectuer sur le vieux grisot que j'ai entrepris de retaper durant la saison estivale. Jusqu'à présent, je m'occupe surtout des freins. Ce que je trouve le plus difficile? Retrouver les petits boulons et écrous d'origine que j'échappe immanquablement sur le sol poussiéreux. Or, ce qui me vient plus naturellement? L'assemblage des pièces. Je pose par contre des tonnes de questions pour arriver à mettre un peu d'ordre dans ce fouillis de ferraille-là. D'ailleurs, je pense qu'É. s'arracherait volontiers les cheveux à l'occasion... s'il n'était pas déjà chauve! ;)

Commentaires

  1. Juste comme ça, parce qu'on m'a dit un jour qu'il faut aussi s'affirmer en "positif", je voulais te dire que je trouve tes deux blogues excellents, une très belle plume rafraîchissante.

    Bizarrement, non, ce n'est pas si facile que ça faire des compliments. Quand on a des difficultés à s'affirmer, il semble que c'est presque tout autant difficile pour dire son désaccord que pour dire son appréciation.

    Bonne continuation,

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Eille, t'as-tu le goût de commenter? Parce que, moi, j'ai envie de te lire en titi : lâche-toi lousse, mon chum.

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