L'après match, 1re round
À la rédaction de mon dernier billet, je venais d'être licenciée de la boîte
de pub pour laquelle je bossais. J'ai couru quelques kilomètres pour m'aider à
mettre derrière moi le choc d'une mise à pied qu'on n'attend pas. D'ailleurs,
j'ai peut-être enfilé suffisamment de kilomètres (?) pour me permettre de
retrouver un nouvel emploi, dans le sport et plein air.
Je reluque ce domaine depuis le bac, époque à laquelle j'aurais tout fait, ou presque, pour faire partie du groupe « select » des gens actifs et des amateurs de plein air. Pourquoi ? Pour plusieurs raisons, dont certaines me dépassent. Je n'aime pas particulièrement les endroits clos surtout si leur étroitesse apparente est causée par une foule envahissante et chaotique. J'habite Montréal, ce qui s'avère pratique étant donné que je ne possède pas de voiture. Et, pour être franche, je n'ai pas envie d'avoir responsabilité d'une bagnole non plus. Mais ne pas pouvoir voir au-delà de l'immeuble sale d'en face qui, en outre, me masque l'horizon m'étouffe. Et me taper la meute de gens tous plus sauvages les uns que les autres dans le métro aux heures de pointe (9 à 5 oblige) m'irrite. Et vivre au rythme effréné d'une ville, où tout se paie et, en plus, à fort prix, me lasse. Vivement la semaine de quatre jours, consacrée en prenant les bouchées doubles, s'il le faut, pour cependant nous permettre la fin de semaine de trois jours entiers, à l'extérieur de la métropole, pour nous faciliter la récupération et l'équilibre ! Aussi, je chéris l'idée même de grands espaces où se perdre. D'autant plus que tous les maux du monde, sinon ceux de ma modeste existence, ont donné une importance immense à la santé et m'ont dotée d'une envie parfois démesurée de goûter la vie en pratiquant, notamment, une panoplie d'activités.
De plus, et comme vous l'avez peut-être décelé, je m'adonne à une poignée d'activités : le spinning, le vélo de route, l'escalade intérieure, la course, le jogging, le patin à roues alignées, le ski de descente, la raquette de randonnée, le surf des neiges, le patin à glace et le kayak de rivière. Et il me tarde d'essayer le ski de fond, entre autres. J'aime également lire des récits de voyage, des mémoires sur des expéditions sportives et des romans d'aventures à la Kirouac. J'aime aller à la rencontre de l'autre, sortir, explorer et communier avec la nature. Et je « tripe » sur les animaux, dont j'appelle les différentes espèces invariablement « des bêtes sauvages » alors que la majorité de celles que je côtoie est en fait ultra-domestiquée. Je collectionne depuis belle lurette les magazines qui traitent de plein air, dont ceux qui abordent le vélo de route et le ski de descente ou le surf des neiges. J'en mange ? Jusqu'à un certain point, oui. Du coup, joindre travail et intérêt me paraît idéal considérant le temps les efforts investis dans cet aspect de la réalité des masses.
(À suivre, le « mais » s'en vient. Pour l'instant, l'extérieur m'appelle.)
Je reluque ce domaine depuis le bac, époque à laquelle j'aurais tout fait, ou presque, pour faire partie du groupe « select » des gens actifs et des amateurs de plein air. Pourquoi ? Pour plusieurs raisons, dont certaines me dépassent. Je n'aime pas particulièrement les endroits clos surtout si leur étroitesse apparente est causée par une foule envahissante et chaotique. J'habite Montréal, ce qui s'avère pratique étant donné que je ne possède pas de voiture. Et, pour être franche, je n'ai pas envie d'avoir responsabilité d'une bagnole non plus. Mais ne pas pouvoir voir au-delà de l'immeuble sale d'en face qui, en outre, me masque l'horizon m'étouffe. Et me taper la meute de gens tous plus sauvages les uns que les autres dans le métro aux heures de pointe (9 à 5 oblige) m'irrite. Et vivre au rythme effréné d'une ville, où tout se paie et, en plus, à fort prix, me lasse. Vivement la semaine de quatre jours, consacrée en prenant les bouchées doubles, s'il le faut, pour cependant nous permettre la fin de semaine de trois jours entiers, à l'extérieur de la métropole, pour nous faciliter la récupération et l'équilibre ! Aussi, je chéris l'idée même de grands espaces où se perdre. D'autant plus que tous les maux du monde, sinon ceux de ma modeste existence, ont donné une importance immense à la santé et m'ont dotée d'une envie parfois démesurée de goûter la vie en pratiquant, notamment, une panoplie d'activités.
De plus, et comme vous l'avez peut-être décelé, je m'adonne à une poignée d'activités : le spinning, le vélo de route, l'escalade intérieure, la course, le jogging, le patin à roues alignées, le ski de descente, la raquette de randonnée, le surf des neiges, le patin à glace et le kayak de rivière. Et il me tarde d'essayer le ski de fond, entre autres. J'aime également lire des récits de voyage, des mémoires sur des expéditions sportives et des romans d'aventures à la Kirouac. J'aime aller à la rencontre de l'autre, sortir, explorer et communier avec la nature. Et je « tripe » sur les animaux, dont j'appelle les différentes espèces invariablement « des bêtes sauvages » alors que la majorité de celles que je côtoie est en fait ultra-domestiquée. Je collectionne depuis belle lurette les magazines qui traitent de plein air, dont ceux qui abordent le vélo de route et le ski de descente ou le surf des neiges. J'en mange ? Jusqu'à un certain point, oui. Du coup, joindre travail et intérêt me paraît idéal considérant le temps les efforts investis dans cet aspect de la réalité des masses.
(À suivre, le « mais » s'en vient. Pour l'instant, l'extérieur m'appelle.)