Le 100km découverte du Tour de l'Île
Il y a quelque mois est sortie la nouvelle que, pratiquement chaque année, j'attends: le parcours du Tour de l'Île. Cette année, une nouveauté au programme: le 100km. Cette épreuve se décline en deux versions: le parcours découverte et celui dit "express". Mon copain, mon amie et moi avons décidé (en fait, mon amie nous a convaincu en s'inscrivant et, du coup, en nous mettant devant le fait accompli) de faire le 100km découverte, séduits par le trajet proposé.
Nous nous sommes donné rendez-vous au point de départ, un peu à l'ouest du parc Maisonneuve, point d'arrivée, vers 8h. Malheureusement, mon amie ne s'est pas jointe à nous faute d'avoir manqué son réveil. Au menu, en ce qui a trait à la météo: de la pluie en matinée et des orages en après-midi. En soirée? Du beau temps, évidemment. Il faut savoir que cette promesse de conditions plus douces en fin de journée n'est, pour un cycliste du Tour de l'Île, d'aucune utilité, car la journée de moulinage se termine habituellement vers 14-15h.
Néanmoins, ç'a été agréable. Certes, il a plu. Je dirais même qu'on s'est tapé l'équivalent de l'orage, qui finalement ne s'est jamais pointé le bout du nez (et tant mieux) en commençant le Tour. Mais notre cadence avait la forme et les averses avaient au moins le chic d'être à une température tout à fait supportable. Du coup, ça ne m'a pas fait un pli qu'il pleuve ou non. Je préfère même un peu de pluie, qui au final rafraîchit, à une chaleur suffocante. Puis, vers 10-11h, ça s'est éclairci, et nous avons ensuite pu profiter de percées de soleil. Mon copain a la mine tout rougie. Moi aussi, mais moins que lui puisque j'ai l'avantage d'être une brunette.
Bref, nous avons pédalé un 100km, ce qui nous a d'abord semblé, avant de l'exécuter, énorme. Mais ça s'est bien fait. Nous avons longé la rivière des Mille-Îles, puis le Saint-Laurent. Franchement, un très, très beau parcours. Nous étions trempés au point de ne pas réussir à sécher complètement en aucun moment de la randonnée, mais heureux. Au 70e kilomètre, le Tour des 100 a rejoint celui des 50, dit "le Tour de l'Île". Nous étions alors à Beaconsfield, ville où réside de ma famille.
Dans une seule randonnée, j'ai revisité le trajet que je faisais pour revenir du boulot, à Laval, celui que j'exécutais souvent durant mes deux étés à la pige en traduction et celui que j'ai osé, soit le bord de l'eau dans l'Ouest de l'île. J'étais contente de pouvoir montrer tous ces endroits à mon copain, que je ne connais que depuis 10 mois. Et, lui et moi, à vélo, nous nous sommes plutôt bien adonnés. C'est merveilleux!
Il me tarde maintenant plus que jamais de me racheter un vélo (j'ai emprunté celui de ma demi-sœur pour l'occasion). En outre, mon copain et moi avons parlé de profiter de quelques-uns de nos week-ends pour pédaler un brin et peut-être même camper le long de notre route. Des plans qui m'enthousiasment beaucoup. Mais pour l'instant, la promesse que j'aimerais me faire est la suivante: l'an prochain, si les circonstances me le permettent, j'aimerais bien refaire le 100km. Évidemment, il faudrait que cette formule soit encore offerte...
Nous nous sommes donné rendez-vous au point de départ, un peu à l'ouest du parc Maisonneuve, point d'arrivée, vers 8h. Malheureusement, mon amie ne s'est pas jointe à nous faute d'avoir manqué son réveil. Au menu, en ce qui a trait à la météo: de la pluie en matinée et des orages en après-midi. En soirée? Du beau temps, évidemment. Il faut savoir que cette promesse de conditions plus douces en fin de journée n'est, pour un cycliste du Tour de l'Île, d'aucune utilité, car la journée de moulinage se termine habituellement vers 14-15h.
Néanmoins, ç'a été agréable. Certes, il a plu. Je dirais même qu'on s'est tapé l'équivalent de l'orage, qui finalement ne s'est jamais pointé le bout du nez (et tant mieux) en commençant le Tour. Mais notre cadence avait la forme et les averses avaient au moins le chic d'être à une température tout à fait supportable. Du coup, ça ne m'a pas fait un pli qu'il pleuve ou non. Je préfère même un peu de pluie, qui au final rafraîchit, à une chaleur suffocante. Puis, vers 10-11h, ça s'est éclairci, et nous avons ensuite pu profiter de percées de soleil. Mon copain a la mine tout rougie. Moi aussi, mais moins que lui puisque j'ai l'avantage d'être une brunette.
Bref, nous avons pédalé un 100km, ce qui nous a d'abord semblé, avant de l'exécuter, énorme. Mais ça s'est bien fait. Nous avons longé la rivière des Mille-Îles, puis le Saint-Laurent. Franchement, un très, très beau parcours. Nous étions trempés au point de ne pas réussir à sécher complètement en aucun moment de la randonnée, mais heureux. Au 70e kilomètre, le Tour des 100 a rejoint celui des 50, dit "le Tour de l'Île". Nous étions alors à Beaconsfield, ville où réside de ma famille.
Dans une seule randonnée, j'ai revisité le trajet que je faisais pour revenir du boulot, à Laval, celui que j'exécutais souvent durant mes deux étés à la pige en traduction et celui que j'ai osé, soit le bord de l'eau dans l'Ouest de l'île. J'étais contente de pouvoir montrer tous ces endroits à mon copain, que je ne connais que depuis 10 mois. Et, lui et moi, à vélo, nous nous sommes plutôt bien adonnés. C'est merveilleux!
Il me tarde maintenant plus que jamais de me racheter un vélo (j'ai emprunté celui de ma demi-sœur pour l'occasion). En outre, mon copain et moi avons parlé de profiter de quelques-uns de nos week-ends pour pédaler un brin et peut-être même camper le long de notre route. Des plans qui m'enthousiasment beaucoup. Mais pour l'instant, la promesse que j'aimerais me faire est la suivante: l'an prochain, si les circonstances me le permettent, j'aimerais bien refaire le 100km. Évidemment, il faudrait que cette formule soit encore offerte...