Parapente

S'envoyer en l'air alla Foglia 

L'an dernier, j'ai eu 30 ans. Mon chum est devenu mon conjoint en m'ayant offert le plus beau cadeau du monde : mon fils. Et comme si ce n'était pas assez, il m'avait aussi offert un saut en parapente. Peut-être avait-il, quelque part au fond de lui, peur d'avoir un bébé ? Non, je ne le pense pas. Pas tant que ça, non. 

Cette année, j'ai eu 31 ans. Et j'ai fait du parapente. 

J'ai fait du trapèze volant. Beaucoup de trapèze, en fait. J'ai sauté en parachute. J'ai fait 2 fois du saut à l'élastique (bungee). Je fais de l'escalade. J'ai déjà sauté dans une fosse en mousse. De très haut. Je plonge sans problème du 3 mètres. J'ai fait de la plongée au Québec. Avec les phoques (et c'est énorme, des phoques). Bref, je n'ai pas le vertige ni trop froid aux yeux. Mais les araignées, ça me dégoûte. Et je braille si je dois faire garder mon fils. Enfin, bref, je n'étais pas stressée du tout d'essayer le parapente. Le plus dur aura été de me séparer de mon poupon quelques heures, le temps de " m'envoyer en l'air " avec son père. 

Pourquoi en parler, alors ? Parce que... j'ai aimé cette expérience. Ça donne envie de s'apporter un café là-haut et de prendre ça molo avec les oiseaux. Et quand l'accompagnateur (d'un saut en tandem) se met à se faire du fun en " viraillant ", ça devient tout simplement trippant. En plus, c'est plutôt soft, le parapenteLe saut à l'élastique, ça, c'est hard. J'aurais pu sauter enceinte finalement. Sauf que j'aurais eu mal au coeur. Parce que j'ai eu la nausée le premier trimestre, moi, en balloune. 

Voilà. Parapente, check

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